La Croyère se site dans les bas-fonds jadis sans écoulement pour les eaux provenant des hameaux se hameau de la Louvière sa situation dans un bas fond sans issue pour les eaux a motivé son appellation qui signifie sol détrempé, vaseux racine romanes croller s’ébouler,crolis, crolaie terrains fondants marécageux flache au flaque a la Louvière l appellation dérivée de la nature marécageuse du sol flache flaque flaquière et flachy ont en roman la valeur de fondrière étang eau croupissante l’industrie a complètement métamorphosé ce hameau voisin d’au son appellation qui répond à sal vaseux détrempé .racines romans croller (s’ébouler),crolis , crolaie, crlière ,croyère terrain fondant marécageux
La Croyère est étymologie du lieux et Hameau
La louvière doit son prodigieux développement a l’essor de son industrie en quelque sorte qu’une cité industrielle c’est vert 1840 que monsieur Alexandre Deby et Cie installent sur la rive gauche du Thiriau à la limite de Houdeng-Coegnie et sous le nom de Verreries St-Laurent une fabrique de bouteilles et verre à vitre ainsi que les ateliers nécessaires à la production du carbonate de soude mais en 1844 la Société Boch met en activité la faiencerie dite Kéramis qui est devenue la plus importante du pays 1851 la fondation des verreries à vitre de messieurs Daubresse frères en 1853 Monsieur Ernest Boucquéau était autorisé par arrêté royal du 21 mars à construire des laminoirs et fonderie et une usine destinée a élaborer la fonte on y fabrique le fer elle devrait être le berceau de la puissante Société des usine Boel ,1854 le premier haut-fourneau du Centre était construit à la louvière par Messieurs Cambier frères 1855 la société des charbonnages de la louvière établissait 12 fours a coke 1856 des fonderies ,atelier de construction , d’autre étaient installés sous la firme Sté Parmentier et Libotte ,1858 Messieur Cambier Frére ajoutaient a leur installations un second haut-fourneau ses accessoires et 64 fours à coke ,1859 la forme Auguste Fabry,Léon Houtart et Cie mettait en activité une verrerie à bouteilles et 60fours à coke ,1861 la Société charbonnière de la louvière reçoit le 31 décembre,l’autorisation de faire construire trois groupe de douze fours à coke,1863 Messieurs Houtart et consort ajoutent à leurs fours à bouteilles une fabrique de verre à vitre en octobre 1863lieu l’ouverture de la fabrique de boulons Charles Nicaise 1867 encore Messieurs du Centre met ses usine en exploitation La croyère avais en son temps après les charbonnages beaucoup d’industrie vert 1867 messieurs Marc Parmentier et consorts établissent à la Croyère (hameau de la louvière) des laminoirs de fer et fonderies, vient par après la compagnie belge pour la construction des machine et du matériel des chemins de fer fixe se atelier à la croyèrevers1873 elle y adjointUne fabrique de fer, plusieurs marteaux-pilons, appareil à vapeur,…etc.On peut dire que cette efflorescence industrielle, joint à l’initiative intelligente de Monsieur Amand Mairaux Bourgmestre de Saint-Vaast dont la louvière n’était que le hameau a aidé puissamment à donner à la cité naissante sa personnalité propre et c’est ainsi qu’an avril 1869Une loi spécial la détacha du village de Saint-Vaast et décréta son érection en commune distincte la louvière se présente sous un aspect très moderne (a l’époque la louvière était un village avec 9.664 habitant elle deviendra ville beaucoup plus tare en 1989 et avec la fusion des comme la louvière est actuellement a 80.000 habitants ) mais revenons a la Croyère au il y avais de nombreux usine comme...en septembre 1899 l’usine et Atelier du Thiriau société anonyme à la Croyère , 1919 la chaudronnerie et ateliers de construction de la Croyère société anonyme a bois-d’haine (90 personnes)1859 la société Anglo-franco-belge de matériel de chemin de fer (société anonyme )a la Croyère 1881 changement les usine de Bruxelles transféré a la Croyère ,1911 nouveau changement deviens Société Franco-belge de matériel de chemin de fer (700 personnes) ,1883 usine Gilson Société anonyme a la Croyère (1700 ouvrier),une Verreries de la Motte à bois-haine (la Croyère) 1878 la Faienceries de Keramis,Boch fréres société en nom collectif a la louvière (130personnes)1898 Carrelages du centre Société anonyme a la louvière (rue de la Boulonneries (250 personnes )1913 le Cacao et chocolat Kwatta société anonyme a bois d’haine (la croyère) (750 personnes) avant elle portait le non Chocolaterie Cida ?la S.A usine Ponsart 1909, ,société anonyme Gilsoco il y avait aussi beaucoup de petit commerce la Croyère comme un CGA ,électricien , cabaretiers, braserie,école (keuwet) marchant de vélo de friandise,coiffeurs,boulanger,pharmacie,un laitier, une poste, une grand centre commercial (6000m²1970) et qui va passe a plus 10.000m² en 2016 .Bomal clément et Lucien Menuisiers , Drugmand frères Marchands de bois ,Vanbellingen entrepreneur ,Lekeu Electricien ,clarat Fernand directeur des laminoir de longtain ,Durant atelier de construction ,Haubourdin Victor métaux et chiffons ,Foulart frères atelier de construction,les forges de la flache Mathieu Frére,la Forge Mainil,les Atelier César Lisse ;les Forges Louis Peeters ;les Etc Ateca ;la Scierie Drugmand ;la Brasserie Meunier les Ets henri et Victor Haubourdin filles ,Ets Demulier(charbon,mazoute,gaz) un terrain de foot , la société glace pure et grand frigorifère du centre (1929)fabrication de blocs de glace pour débit de boisson,hôpitaux,etc.. rue de la croyère (pompe Esso actuel )la ferme du Tréou (Elsince du Trayou) au bout de la rue parmentier (actuel r. de l’appel dans Nlmk) le fooball (RAA sur le terrai de la ferme du tréou (1920) une église (sacré-cœur de la croyère)la s.a usine et fonderies de la croyère 1920 , la s.a. l’oxhydrique internationale 1905 la société a leur actuel est toujours là (2015) les laminoirs de la croyère 1865 ? (250personnes) maison servant à l’exploitations de ladite usine ,épargner par le temp et son toujours là (Actuel :rue de l’appel et coté de NLMK) la construction de 1939 à 1960 de la future cité Reine Atride ce constituera de 554 habitations diverse (pour pensionné et sociaux ) E 1961 La croyère change avec le rebouchent du canal Par des tonnes de terre et la construction de l’embranchement de l’autoroute et qui s’acheva en 1972 mais construction de l’autoroute na pas fait que des heureux avec 90 maisons qui fur expropriés pour terminée par leur la démolitions Qui lésa place à l’autoroute et à une la place Keuwet coût approximatif des travaux de 5 milliards f/bLe racheta en 1964 les terrien du Domaine du Tréou parallèlement à la rue de la croyère et l’ancienne chamétal fessai partie du domaine ( sur les ruines du laminoir de la croyère diparue 1933) pour construire en 1974 le laminoir a froid (qui était peint en bleu ) puis la saga du déclins de l’industrie suite a l’économie mondial vont d’un grand industrielle reconnu mondialement ,fusionne avec Hoogovens et reprise pour 1fb symbolique par un métallurgique italien et enfin reprise a nouveau par un autre grand comme NLMK. Il y a aussi ces rue de la Croyère comme celle de la cité reine Astrid avec cet non d’oiseau et de fleures, Rue de l’appel, Arthur adam,auguste nicodème,Des Bois,Bois haine, Cache après Camille Deberghe,chocolatières, croyère, Eugène Dubois,franco-belge,Georges keuwet,Gustave Brichant,Grattine,Henri Pilette,louis Pérart,parmentier,sartiaux,tierne bourgeois,ving-cinq-francs,Wallonie,Boulonneries,canal,Léon-Debelle,Egalité,Haute,Kwatta,Liberté,Georges Pirson,Progrès ,station ,Troupette,Joseph Wauters
Une Histoire sur les Usine des Environs..
Nombre d’industrielles dans le centre Il avait 10 - charbonnages -/ Il avait 53 - Sidérurgie et construction MétalliqueIl avait 10- carrières de la région du centre / Il avait 18- verreries et gobeleteries Il avait 1 - faïencerie / Il avait 2- Eclairage et force motrice -Il avait 6- Carrelages Céramique Cimenterie et tuileries - / Il avait 1- Produits chimique - Il avait 1- Explosif - / L avait 1- Tanneries - / Il avait 3- Imprimeries - Il avait 7- Alimentation - / Il avait 4- Banques - /Il avait 1- Bétons -Il avait 1- Caisses et bois industriels – / Il avait 1- Centrale pharmaceutique - Il avait 1- Fonderies de cuivre - / Il avait 1- Corderies – Il avait 1- Fonderies de bronze- en touts +/- 123 entreprises dans le centre ?
les deux plus grand rue principal de La Croyère avec cette grand artère formé successivement parté de la place mansart , rue Albert 1er , la Rue J Wauters , placard du Hocquet- rue de La croyere ,rue E.Dubois .pour termier a l’époque la rue parmentier .Dénommé chemin de Nivelle à Mons sur le de la Louvière daté de 1869.cette route existait certainement avant 1800C’est la principale voie de communication qui dessert la croyère,l’un des plus important hameaux de la Louvière et de bois-d’haine cette artère ,très fréquentée ,ou règne une circulation intense de tramways et de véhicules de tout genre était antérieurement à ,1925 coupée par un passage à niveau (chemin de fer de Mons à Manage) qui constituait une entrave très sérieuse à la circulation. Il a ete remédié à cette situation de plus en plus préjudiciable par l’établissement d’un viaduc qui enjambe le dit chemin de fer à proximité de la gare industrielle .cet endroit est dénommé <pont des soupirs> après avoir franchi en effet la forte pente qui accède au fate du pont ,les usagers poussent généralement un < soupir> de soulagement la rue de la croyère qui joignait auparavant sous cette seule appellation le placard du Hocquet à la place George Keuwet a reçu au fil du temps trois appellation différentes rue E .Vandervelde jusqu’au pont des soupirs rue de la croyère et enfin rue Eugène Dubois sur une centaine de mètres seulement . C’est rue on encore change lors de la fusion des communes en 1977 : la rue E.vandervelde deviens rue Conreur ,jusque le pont des soupire puis la rue de la croyère ,rue E.Dubois pour terminer a l’entre de l’autoroute la rue Parmentier se divise aussi en trois rue de l’appel ; rue Parmentier , rue de la franc belge .rue kwatta .